Paysage à l’Etang (non localisé). Aquarelle (25,5×34,5cm). Datation : après 1900.
Ce visuel est présenté avec l’aimable autorisation de la Maison des Ventes Osenat #_osenat à Fontainebleau, Paris et Versailles. Cette œuvre (Lot 53) a été mise en vente à Fontainebleau le 24 novembre 2020.
Les paysages bucoliques où figurent des étangs et des lacs ou des cours d’eau sont très fréquents chez William Thornley. Malheureusement, ils sont rarement localisés. Cette aquarelle n’échappe pas à la règle !. Le format de la signature permet de la dater après 1900.
Le 13 décembre 1923, dans les « Notes d’Art » du journal » l’Echo Pontoisien », on pouvait lire ces quelques lignes à propos de William Thornley : « Quel que soit le site, l’artiste est toujours à l’aise devant la nature, il en sait exprimer tout l’attrait (…) trouve devant lui le décor tout préparé, y surprend les jeux de la lumière et des nuages, la limpidité de l’atmosphère, (…) les reflets des arbres dans le miroir fidèle des eaux, le frisalis des feuilles aux baisers de la brise et à la morsure du vent. «

Paysage à l’Etang (not located). Watercolor (25.5×34.5cm). Dating: after 1900.
This visual is presented with the kind permission of the Maison des Auctions Osenat #_osenat in Fontainebleau, Paris and Versailles. This work (Lot 53) was put up for sale in Fontainebleau on November 24, 2020.
Bucolic landscapes featuring ponds and lakes or streams are very common in William Thornley’s work. Unfortunately, they are rarely located. This watercolor is no exception to the rule! The format of the signature allows it to be dated after 1900.
On December 13, 1923, in the « Art Notes » of the newspaper « l’Echo Pontoisien », we could read these few lines about William Thornley: « Whatever the site, the artist is always at ease in front of nature, he knows how to express all of its appeal (…) finds the decor ready-made before him, surprises the play of light and clouds, the limpidity of the atmosphere, (…) the reflections of the trees in the faithful mirror of the waters, the « frisalis » of the leaves to the kisses of the breeze and the bite of the wind. «