Vue d’Antibes en été. Aquarelle. Après 1900 (Collection privée)
Visuel présenté avec l’aimable autorisation de son propriétaire. Cette aquarelle a fait l’objet d’un accrochage dans le cadre de l’exposition organisée entre le 6 avril et le 30 juin 2024 au Musée Thornley (Voyage en France avec William).
Le site de la Ville d’Antibes, vue de la Garoupe, est un thème que William Thornley traita à différentes saisons, un petit peu comme le fit Monet avant lui dans ses fameuses séries. On reconnait sans peine le campanile de la cathédrale et la tour du Château Grimaldi. Vous trouverez d’autres vues concernant Antibes sur le site Web « georges-william-thornley » , notamment les fiches 4 (Antibes) , 97 (Bord de mer), 144 (Vue d’Antibes) et 145 (Antibes).
Ici, peut-être en raison d’un temps nuageux, les tons sont plutôt assez crus, moins lumineux et chauds que lorsqu’Antibes, nichée dans son écrin azuréen, est inondée des rayons du soleil d’été. On retrouve dans cette composition un cadrage assez classique chez Thornley, qui se plait à mettre en scène, en premier plan, des arbres délicatement détaillés. Le format de la signature permet de dater cette œuvre après 1900.
View of Antibes in summer. Watercolor. After 1900 (Private collection)
Visual presented with the kind permission of its owner. This watercolor was the subject of a hanging as part of the exhibition organized between April 6 and June 30, 2024 at the Thornley Museum (Voyage en France avec William). The site of the City of Antibes, seen from La Garoupe, is a theme that William Thornley treated in different seasons, a bit like Monet did before him in his famous series. We easily recognize the bell tower of the cathedral and the tower of Château Grimaldi. You will find other similar views on the « georges-william-thornley » website, notably sheets 4 (Antibes), 97 (Seaside), 144 (View of Antibes) and 145 (Antibes).
Here, perhaps due to cloudy weather, the tones are rather raw, less luminous and warm than when Antibes, nestled in its Riviera setting, is flooded with the rays of the summer sun. In this composition we find a fairly classic framing by Thornley, who likes to feature delicately detailed trees in the foreground. The format of the signature allows us to date this work after 1900.
